À la question : « Charles, comment as-tu vécu ces deux confinements ? » , voilà sa réponse…
« Les vitraux sur lesquels je travaille vont être posés dans la chapelle funéraire Guillaume de Seigne à Bléré en Touraine. Ceux-ci ont disparus depuis longtemps et il fallait en concevoir des nouveaux. La chapelle est inscrite à la Fondation du Patrimoine et bénéficie d’un financement dans le cadre de la restauration globale par les architectes des monuments historiques.
J’ai créé pour l’occasion un ensemble d’épreuves à partir des écussons de la famille de Seigne.
Je me suis joint à ce travail sur la base du volontariat car je suis passionné par le patrimoine et l’histoire de l’art, les adhérents de l’ALCV le savent.
J’avais déjà contribué aux vitraux de Saint Vincent à Blois [voir le livre « Rousselet – Peintures »- CY.TER Editeur] . Ces aventures sont honorifiques pour un artiste, elles constituent une reconnaissance professionnelle et étayent l’ensemble d’une œuvre ».
Quelques photos